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Ukratio, pour une société vraiment plus juste, durable et fraternelle
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    • foire aux questionsmetaDiscussionhistory
      39 messages ( et 9 méta-messages) < 2016
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      • Message répondu : par def le 23-02-2016 à 17H49Voir le message
      • bravo pour ces efforts en vue de simplifier/eclaircir... (et... ma modeste contribution!) par renc le 24-02-2016 à 06H23( 7 méta-messages)
        .
        voici donc une modeste contribution... après survol en vitesse...
        c'est d'ailleurs effacable ou deplacable apres qques cycles d'usage...

        -
        là ou il y a des etoiles** ('cherchables' par ctrl F).. des corrections proposées
        et des // pour proposer qques ameliorations? ou interrogations

        voici donc une modeste contribution... après survol en vitesse...


        je relirai sans doute avec un peu plus de soin... bientot

        ============================================
        Foire aux questions
        S'il n'y a pas d'argent, c'est le retour au troc ?!

        Point du tout. Il y a une alternative plus radicale : le partage : on décide ensemble de qui fait quoi plutôt que s'échanger des possessions (droits de décider seul de qui fait quoi dans un domaine donné).
        La possession, actuellement, est d'ailleurs un pouvoir discrétionnaire absolu. C'est incompatible avec une vraie démocratie !
        La possession n'est-elle pas un besoin fondamental, un droit garant de la liberté individuelle ?

        Entendons nous bien, nous parlons ici de la possession en tant que pouvoir discrétionnaire, sorte de petite monarchie.
        On peut parfaitement conserver une possession au sens d'un simple droit d'utilisation, ou même de pouvoir de décision mais non discrétionnaire.
        Ainsi, une personne pourra toujours être utilisateur prioritaire ou gardienne d'un bien. Mais si l'utilisation qu'elle en fait (ou un refus de prêt) s'avère clairement incompatible avec le bien commun, l'avis du groupe (par décision ucratique), l'emporterait.
        Les gens disposeront donc ainsi des biens nécessaires (à leur bien-être), leur garantissant une certaine tranquillité, sans que cela ne s'oppose au bien commun...

        Un besoin humain c'est, par exemple, de pouvoir manger à sa faim, de ne pas avoir froid, de vivre en sécurité, sans être excessivement dérangé, de pouvoir exprimer ses idées, de participer à la vie de la cité...
        Mais pouvoir dominer autrui (pouvoir discrétionnaire) n'est nullement un besoin humain. On peut vivre sans cela en étant très heureux ! D'autant plus, que l'absence de tels pouvoirs permet des rapports plus harmonieux avec autrui (autre besoin humain réel).
        C'est quoi le bien commun ?

        En ucratie, la chose est précisément définie :
        Le plus grand bonheur possible du plus grand nombre possible, en commençant par les bonheurs les plus faibles.
        S'il n'y a pas d'argent, et que tout le monde fait ce qu'il préfère, il va manquer de volontaires pour les tâches nécessaires les moins passionnantes. Les gens vont se servir abondamment dans les magasins de sorte qu'il ne va plus rien rester pour les derniers arrivés ?!

        Point du tout : La répartition (de la consommation et du travail) se fera par une décision collective... Les gens ne se serviront donc pas individuellement, sans concertation...
        Mais alors, c'est liberticide, ça va être la dictature du collectif !

        Point du tout, car les décisions ne vont pas se prendre conformément à l'avis d'une majorité (éventuellement influencée par d'habiles manipulateurs), mais conformément à une éthique universelle, connue de tous et à laquelle tout le monde adhère.
        Si donc les décisions se font conformément à mon éthique, c'est bien que je suis libre...

        De plus, grâce à l'efficacité de l'organisation ucratique, les délibérations seront rapides, chacun pouvant y participer.
        Voir également : liberté, égalité, fraternité.
        Mais si cette éthique commune ne me convient pas ?

        Vous êtes alors libre de rejoindre ou former un groupe fonctionnant d'une façon différente, qui vous convienne. L'ucratie n'a pas vocation à s'imposer par la force.
        Ses avantages sont tels qu'elle se répandra probablement d'elle même à la quasi majorité de la population, par libre consentement...
        L'inconfort pour ceux qui ne partageant pas l'éthique vivraient tout de même en ucratie, sera, en pratique, bien faible.
        Mais par souci de la liberté individuelle, la possibilité de vivre selon un autre système sera toujours assurée à ceux qui le souhaitent.
        La seule limite étant qu'ils ne nuisent pas à autrui, et au bien commun que constitue l'écosystème...
        Quelle est donc cette éthique commune ?

        Elle se caractérise par un objectif et une méthode.
        L'objectif est le plus grand bonheur possible du plus grand nombre possible, en commençant par les bonheurs les plus faibles.
        La méthode est la démarche rationnelle.

        Cette dernière permet de s'accorder sur les moyens d'atteindre l'objectif...
        Cette éthique permet donc une véritable harmonie entre les gens.

        Elle est aussi particulièrement consensuelle, universelle.
        Elle permet donc de former une société comportant un très grand nombre de personnes, d'où une importante sécurité et l'efficacité économique...
        Le bonheur n'est-il pas une conception bourgeoise, occidentale...

        Une certaine vision du bonheur, peut-être, mais pas ce dont nous parlons ici : le bonheur est le niveau de bien-être, le fait d'être heureux (ou moins malheureux). Chacun peut aisément apprécier cela pour lui-même. Il ne faut pas confondre avec les moyens d'accroître son bonheur, qui eux sont très variables.
        Le bonheur des uns ne fait-il pas, parfois, le malheur des autres ?

        Bien sûr, c'est pourquoi, lorsque nous parlons du « plus grand bonheur », c'est du plus grand bonheur de tous, équitablement : « en commençant par les plus faibles ».
        Plus précisément, pour choisir entre deux options, on compare tous les bonheurs individuels qui en résultent, en partant des plus faibles (les plus grandes souffrances) et on adopte la première (des deux options) pour laquelle on rencontre ainsi un bonheur individuel plus élevé. Priorité est donnée, donc, à la réduction des plus grandes souffrances.
        Il s'agit d'un utilitarisme solidaire. Par construction, il n'y a plus d'exploitation.
        Ne va-t-on pas sacrifier les générations futures sur l'autel du bonheur des générations présentes ?

        Certainement pas, car quand nous disons « bonheur du plus grand nombre », il va de soi que les générations futures constituent le plus grand nombre. Nous parlons du bonheur à long terme...
        La préservation de l'environnement sera donc tout naturellement une priorité. Contrairement à aujourd'hui, où elle est sacrifiée sur l'autel de l'égoïsme induit par l'argent, la possession et la poursuite du pouvoir en général.
        L'égoïsme n'est-il pas un trait de la nature humaine ? ne se manifestera-t-il pas **toujours **toujours** d'une façon ou d'une autre ?

        L'égoïsme est un concept quelque peu illusoire. Est-ce que désirer son propre bonheur est mauvais ? Si je trouve mon bonheur dans celui des autres... ou même d'une façon qui ne nuit à personne ? Clairement, non !
        Ce qui doit être dénoncé est la poursuite d'un but qui nous place en compétition avec autrui, en porte-à-faux avec le bien commun. Or, qu'est-ce qui induit cela d'une façon pratiquement systématique ? Est-ce l'instinct de survie ou la soif de pouvoir personnel exclusif (argent, possessions, grades etc.) ?
        Voilà pourquoi, la suppression de ces pouvoirs exclusifs (aujourd'hui très répandus) est ce qui doit être prioritaire pour quiconque, doué de raison, aspire à un monde plus paisible et durable.
        Abolir complètement l'égoïsme est une vue de l'esprit qui nous égare, car ce n'est ni très réaliste, ni très utile (une fois que l'égoïsme a été drastiquement réduit).
        Ok, des gens continueront à se battre s'ils se trouvent en compétition pour la survie. Mais cela ne se produira qu'exceptionnellement, à l'occasion de quelque catastrophe localisée. Aujourd'hui, potentiellement, il y a de quoi offrir bien plus que le minimum vital à tout le monde...

        En outre, il n'est pas interdit de réduire plus complètement l'égoïsme par l'éducation, des valeurs différentes.
        Donc, oui, on peut toujours réduire l'égoïsme. La "nature humaine", nos "gènes" ne déterminent que des tendances, des potentialités. On peut changer considérablement les choses en intervenant au niveau de l'acquis.
        Celui qui veut dominer n'y parviendra-t-il pas toujours ?

        Non, pas "toujours" : seulement s'il est suffisamment déterminé et que la chose est suffisamment aisée.
        Or, ce que nous proposons est un système où la chose est rendue extrêmement difficile, et où l'envie de le faire est également réduite (les gens ne rêvent guerre d'obtenir que ce qui est offert à leur "regard", placé à leur portée).
        La domination sera donc moins présente. Sans compter que l'on pourra, en parallèle, éduquer à d'autres valeurs...

        Ce qui est vrai est que si l'on ne supprime pas toutes les formes de pouvoir discrétionnaire, le problème se concentre sur les pouvoirs restants. Ainsi, dans le passé, il est arrivé que l'on supprime l'argent (ou réduise la possession) mais pas le pouvoir politique. La domination s'est alors reportée sur le pouvoir politique.
        Mais si l'on aboli**e toute forme de pouvoir, c'est complètement différent... C'est seulement s'il existe, qu'il est possible, qu'un pouvoir est poursuivi.
        Et que faites-vous du pouvoir informel ?

        On l'extermine tout autant que les autres .
        En effet, le pouvoir informel repose sur la manipulation, dont la démarche rationnelle est l'antidote...
        Le fait que des arguments rationnels sont nécessaires, qu'il y ait un grand nombre de gens chargés ou susceptibles de vérifier ce qui est fait ou affirmé (voir plus bas), y compris la rationalité des arguments, sans proximité physique particulière, élimine pratiquement cette forme de pouvoir.
        L'argument d'autorité, par exemple, n'est pas rationnel...
        La rationalité est-elle suffisante ? des gens d'avis opposés ne peuvent-ils pas argumenter indéfiniment sans se mettre d'accord ?

        La rationalité permet un accord bien plus qu'on ne le croit, car il ne faut pas confondre une simple argumentation (pas toujours très rationnelle), avec la véritable démarche rationnelle, qui est très rigoureuse.
        Cette dernière est généralement très peu respectée dans la plupart des échanges verbaux actuel (et passés), et même dans la pensée humaine en général. Ce n'est que dans le domaine scientifique (et encore: surtout les sciences exactes), qu'il a commencé d'être mise en oeuvre un peu sérieusement. Et l'on en voit les résultats remarquables...
        Si les gens d'avis opposés ont souvent du mal à se mettre d'accord, et que les débats s'éternisent, c'est précisément parce qu'ils manquent de rationalité, que la rationalité n'est souvent qu'apparente (ce qui est d'ailleurs une forme de manipulation).
        Ce peut être aussi parce qu'ils ne poursuivent pas le même but... Aujourd'hui, le mode d'organisation basé sur les pouvoirs discrétionnaires, fait qu'il est rare que deux personnes poursuivent le même but...

        Si malgré tout, un accord ***n'est a trop de mal à être atteint, on pourra toujours recourir à une majorité... Mais seulement dans ce cas !
        Mais comment estimer des bonheurs et comparer des bonheurs de personnes différentes ?

        Le plus simple est de le demander aux personnes concernées.
        Chacun peut ainsi estimer le bonheur (par unité de temps) que lui apporte telle ou telle activité, le positionner sur une échelle relative...
        Les gens qui seront chargés d'une décision collective pourront commander des sondages...
        Enfin, il y a des choses connues, communes à tous.
        Par exemple, la satisfaction des besoins les plus fondamentaux pourra être prioritaire sur celle d'aspiration qui le sont moins.
        Ce qui fait le bonheur de plus de personnes pourra être prioritaire sur ce qui ne fait le bonheur que d'un petit nombre. Etc.
        Mais comment être sûr que les décisions soient bien prises conformément à l'éthique commune ?

        Il ne saurait être question de certitude, ici comme en toutes choses d'ailleurs, dans le monde réel ! Cependant, on peut mettre en place des moyens de s'approcher de cette certitude.
        Tout d'abord, suffisamment de gens, suffisamment compétents seraient affectés à une décision donnée (pour limiter les risque d'erreur). Plus une décision serait importante, plus ce nombre serait élevé, de même que le temps et les moyens matériels mis au service de la décision.
        Ces personnes ne seraient pas désignées sur la base d'un éventuel désir de participation à la décision (car risque d'intérêts personnels en jeu), mais uniquement sur la base de leurs compétences et désir pour le type d'activité. Un tirage au sort pourra intervenir dans ce processus.
        Par ailleurs, les délibérations de ces jurys décisionnaires seront transparentes : tout le monde pourra voir ce qui se passe est*** vérifier que le cahier des charges (ici: le respect de l'éthique) est respecté. Des gens pourront même être spécialement affectés à cette surveillance (pour être sûr que suffisamment de gens surveillent !)
        On voit donc qu'ainsi, il y a peu de chances que les décideurs puissent profiter de leur fonction pour s'avantager personnellement (une telle fraude serait sanctionnée), de sorte que cette fonction ne serait pas spécialement désirable. D'où réduction de la désirabilité du pouvoir, dont nous avons vu l'importance...

        On note que tout est fait pour que les décisions soient de bonne qualité, à la différence d'une démocratie où tout le monde peut donner un avis sans avoir à le motiver, ni à réfléchir, ni à avoir une quelconque compétence en rapport avec la décision !
        Sans compter que c'est une perte de temps que tout le monde se livre à une même activité (la prise de décision), lorsqu'il suffit que quelques uns s'en occupent...
        Qui effectuerait les tirages au sort, et autres choix d'affectation aux tâches de délibération ou de surveillance ? N'y a-t-il pas là un risque de pouvoir discrétionnaire ?

        Ce risque peut pareillement être réduit : il s'agirait là d'une activité tout aussi transparente que les autres, et même, comme on peut aisément le comprendre, particulièrement surveillée.
        Surveillée, comme nous l'avons vu, par tous ceux qui le souhaitent. Sur une population de plusieurs millions d'individus, il est clair qu'il y aura forcément des gens qui ne manqueront pas de s'en charger (à leurs heures perdues). D'où un niveau de garantie très élevé.

        En somme, l'ucratie est bien une démocratie, en ce sens que c'est bien le peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens qui a toujours le dernier mot, qui surveille tout ce qui se passe.
        Mais si l'on englobe le domaine économique, le nombre et la technicité des décisions n'est-il pas considérable, au point qu'il est difficile de les traiter démocratiquement même avec de nombreux jurys fonctionnant en parallèle ?

        Oui, mais la solution existe. Bienheureusement, les délibérations économiques peuvent être automatisées, grâce aux progrès de l'informatique (et à la précision de l'éthique commune).
        En effet la mise en oeuvre de cette éthique se traduit par un algorithme simple, qui peut être introduit dans des ordinateurs.
        Il suffit que chacun indique des niveaux de bonheur pour les différentes activités économiques désirées ou pressenties, et on fait le calcul en utilisant ces informations.

        Ainsi, la répartition du travail et de la consommation serait optimale, du moins, presque, puisqu'il y aura toujours une petite imperfection due au fait que :
        1/ Une personne peut se tromper dans l'estimation de son bonheur personnel futur (pour un type d'activité). Mais elle ne manquera pas de la corriger au fur et à mesure de ses expériences (ou humeurs du moment).
        2/ Des erreurs et approximation** sont toujours possibles (voir inévitables) dans l'estimation des ressources, des meilleures méthodes de production etc. Ce travail étant confié à suffisamment de gens compétents, elles pourront être maintenues raisonnablement faibles.
        3/ Des incertitudes dans le calcul : il est possible qu'il faille procéder à des approximations à ce niveau pour que les calculs puissent être faits en un temps raisonnablement court (car les ordinateurs ne seront jamais infiniment puissants).

        Mais cette imperfection inévitable est ridicule comparée aux nuisances et injustices secrétées par les actuels systèmes politiques et économiques.
        Il s'agirait d'un progrès considérable ! Et c'est bien cela qui doit motiver l'action. Il faut aller là où le bénéfice est le plus important, pas se contenter de rêver d'une perfection irréaliste...
        Si l'on recourt à l'informatique, n'y a-t-il pas un risque de piratage ?

        Là encore, c'est pareil qu'avec le risque de fraude de la part d'un jury : il y aura suffisamment de contrôleurs.
        Certes ce contrôle-là pourra nécessiter quelques compétences en informatique, mais suffisamment de gens les ont pour que la garantie soit suffisante. Le programme étant relativement simple, chacun pourra le tester de son côté.
        Tout ça est bien joli, mais ça ne risque pas de rester du domaine de l'utopie ? On fait comment pour accéder à cette nouvelle société à partir de la réalité concrète d'aujourd'hui ?

        On ne peut être sûr du meilleur chemin, il y a toujours une incertitude concernant le futur, mais... Ce qui est sûr, par contre, est qu'il y a plein de choses que l'on peut faire qui vont dans le bon sens, dont beaucoup sont vraisemblablement indispensables.
        Il est certain que plus de gens consacreront du temps à ces choses, plus cette nouvelle société aura de chances d'advenir, et plus rapidement elle se mettra en place.

        Un avantage de cette "utopie" (dont on aura noté le réalisme) est qu'elle peut être expérimentée localement, ce qui est sage, avant toute généralisation...
        Donc, les gens qui le souhaitent peuvent se regrouper, ou convaincre leurs voisins, pour mettre en place des organisations ucratiques locales ou autres. On peut s'attendre à un effet d'entraînement par l'exemple.
        Il est possible aussi d'utiliser la voix des urnes. Un parti peut fort bien porter le projet d'instaurer l'ucratie (ce qui le conduira à abolir le pouvoir qu'il aura obtenu). Où sans aller jusque là, on peut favoriser les candidats les moins hostiles à ce genre d'innovations...
        Pour booster le processus il est évidemment souhaitable que les sympathisants mettent leurs moyens en commun****s, partagent des informations utiles, grâce à une association d'intérêt général, ou un site internet (devinez lequel !).
        Des informaticiens peuvent dores et déjà élaborer des programmes pour le calcul des répartitions économiques en fonction des estimations de pénibilités personnelles...
        Chacun peut aussi travailler sur la rationalité, sa bienveillance, en un mot : sa propre pratique de l'éthique universelle... « être le changement », comme on dit !

        Mais une première action que tout le monde peut faire facilement, sans que ça ne lui coûte beaucoup, est de faire connaître le projet en en parlant autour de lui, en diffusant l'adresse du site etc.
        Car c'est seulement ainsi, que suffisamment de gens (ayant les disponibilités, envies et compétences adéquates), pourront se livrer aux autres actions évoquées plus haut.
        C'est seulement ainsi, également, que l'on prendra de vitesse d'éventuelles incompréhensions ou diffamations concernant le projet.
        Le simple fait de s'inscrire au site, en indiquant sa disponibilité, ses compétences particulières, ces informations étant constamment réactualisables, est évidemment très utile !
        Cela permettra de se compter, d'être contacté en cas d'opportunité particulière, pour tous ceux aspirant à quitter le système d'esclavage actuel.

        Il s'agit de cesser d'attendre que les choses viennent d'en haut, des autres... telle est la clé.
        Elle est en toi, cher lecteur, elle t'appartient, avec le détonateur juste à côté du coeur .
        Êtes-vous anarchistes, communistes, capitalistes, libéraux etc.?
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      • Réponse n°1 : par def le 24-02-2016 à 10H01Voir le message

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