Intéressant ce qu'il dit sur l'étymologie de mots comme "noble" ou "généreux", mais bon, c'est étymologie, tout le monde l'a oubliée. Ensuite, sur l'humanisme, je ne le suis pas trop. Je ne vois pas pourquoi, un humaniste n'accorderait "aucune importance" aux animaux...
Un point qu'il n'évoque pas dans l'humanisme est celui d'opposition à toute discrimination au sein de l'humanité. Ce point est important car c'est s'attaquer à la cause des guerres. Donc, si déjà, tout le monde était humaniste, se serait un progrès considérable...
Je pense que pour ce qui nous concerne, il faut prendre en compte la façon dont un terme est perçu par le plus grand nombre. Et je ne crois pas que le plus grand nombre ait la vision que Bonnardel dénonce. Au contraire, on peut être "humain" avec les animaux.