Plutôt d'accord avec ta vision de la répartition, là ou il y a un besoin spécifique, il y aurait une communauthèque.

Mais bien évidemment, dans un premier temps les communauthèques seraient implantées proches des communautés ukratiennes.

Pour réduire l'impact lié aux déplacements des emprunteurs, mais aussi pour créer plus de liens sociaux, on pourrait imaginer, que l'on donne la possibilité à une personne d'emprunter directement à celui qui a la garde de l'objet, plutôt que de repasser par la communauthèque (si bien sûr le "gardien" accepte d'être contacté et, si le trajet emprunteur / gardien est plus court que le trajet emprunteur / communauthèque).

Après ça implique de faire confiance au jugement de chacun sur l'état d'usure des objets, puisque les objets sont moins surveillés par la communauthèque.