L'intérêt de ce point était surtout de s'assurer que l'engagement de la personne n'ai pas fléchi. Quelqu'un peut s'être investi dans le passé et ne plus être autant en accord avec le projet. Il suffirait donc d'éviter que ces "vacances" ne soient trop récentes...

Il faut voir aussi qu'on ne parle pas là de "travail" (ou de "bénévolat") au sens habituel de tâche plus ou moins contraignante. Le simple fait de réfléchir à des trucs en rapport avec le projet peut être comptabilisé.
Faut pas comparer avec le système d'asservissement actuel, où le besoin de vacances est plus compréhensible !
L'idée est que la personne soit au minimum "humaniste rationnel". Et il me semble que par nature, cette éthique doit entrainer, à terme, une adhésion de tous les instants (ceux où l'on est un minimum éveillé et conscient, bien sûr). J'imagine mal comment un tel "humaniste rationnel" pourrait passer des semaines entières totalement déconnecté de ce qui est sensé être le moteur principal de son existence...
Ensuite, le niveau de fiabilité envisagé ici, est probablement le plus élevé qui existe. La plupart des seuils que l'on va envisager vont être plus faibles.
Et je rappelle qu'il y aura bien des gens désignés à ce post, même si personne ne vérifie ce critère... (ne perdons pas de vue la subtilité de celui-ci: c'est si l'on désigne deux personnes avec accès complets indépendants ou avec signatures conjointes)...

Après, ces nombres sont bien sûr assez arbitraires.
Histoire d'ajouter une certaine souplesse au processus (de nombreux critères oubliés peuvent s'avérer pertinents), je propose, pour le moment, une nomination argumentée par le conseil d'administration*, pouvant être contestée par l'assemblée générale (permanente)*. Ces propositions de seuils étant plutôt "indicatives".

Voir le règlement intérieur