2- Le fait que la vie (surtout humaine) me semble nécessaire au bonheur...
Dans ce cas , il semblerait plus pertinent de préciser et de parler de
qualité de vie ( le concept même de la " vie " regroupant des
états parfois contradictoires : on peut vivre une vie de
souffrance ou au contraire une vie de
pur bonheur )
Si dans l'absolu , la priorité est de préserver l'humanité ( ne serait-ce que pour éviter de rompre le chainon de l'espèce humaine ) il n'en demeure pas moins que la qualité de vie prévaut tout autant .
A quoi bon préserver une humanité qui vivrait un
enfer sur terre , si ce n'est qu'elle
reproduirait une souffrance sans fin ?
D'où peut-être la pertinence de préciser en plus de la préservation de l'espèce humaine : " principe de préservation de qualité de vie ".
Principe de qualité de vie qui peut tout aussi bien s'appliquer à l'espèce humaine et animale .
Appliqué à " l'existence environnementale ", on pourrait parler de : préservation de
symbiose du " milieu naturel " et environnemental . )