A quoi bon préserver une humanité qui vivrait un enfer sur terre , si ce n'est qu'elle reproduirait une souffrance sans fin ?
Ce questionnement me semble assez judicieux.
En pratique, il y aura toujours un espoir de retrouver une certaine qualité de vie dans le futur. Mais c'est vrai que si la vie de tout le monde devait assurément être un enfer définitif, je ne vois pas trop l'intérêt de préserver une telle situation...
Du coup, comme nous y invite $jcl, il est peut-être préférable d'abandonner purement et simplement ce principe. Car c'est pareil pour toute forme de vie, si elle doit vivre définitivement un enfer...
Cette idée de "qualité de vie" me semble vague et inutile, car incluse dans la notion de bien-être/bonheur...
La "symbiose" ( je pense que tu fais plutôt allusion à l'équilibre écologique) est quant à elle un
moyen pour ce bonheur, tout comme la survie, d'ailleurs...