Le système des petits bouts de papier permettait une collaboration (certes involontaire) entre un très grand nombre de personnes pour la production de chaque bien.
OK
Une telle collaboration induit un gain considérable de productivité (et donc de bien-être et de liberté).
J'aurais utilisé l'imparfait puisqu'on est toujours dans le conte ; donc "induisait".
C'est d'ailleurs grâce à ça que des progrès imporÂtants avaient été accomplis dans les moyens de calcul et de comÂmunication ; à tel point qu'il était devenu possible de s'approÂcher, bien plus efficacement que par une discussion ou un échange de bouts de papier, de la répartition des activités de production et de consommation la plus juste et bénéfique possible.
Tu ne peux pas dire en même temps :
à tel point qu'il était devenu possible de s'approÂcher, bien plus efficacement que par une discussion ou un échange de bouts de papier, de la répartition des activités de production et de consommation la plus juste et bénéfique possible.
(C'est à dire que tu as conscience de ce qu'il faut faire), et juste après :
Malheureusement, aucun habitant de ce monde n'avait encore pensé à ça...
- Ou bien tu supprimes le :
Malheureusement, aucun habitant de ce monde n'avait encore pensé à ça...
qui fait retourner dans le conte alors que tu en es déjà sorti par les phrases :
Il suffit que chacun indique ses préférences et capacités, et que l'on distribue ensuite les travaux et consommations en tenant compte de ces préférences. La satisfaction de chacun serait ainsi optimisée, et c'en serait fini des nuisances dues au désir d'acquérir les petits bouts de papier.
-ou bien tu utilises le conditionnel passé : "à tel point qu'il serait devenu possible..."
-ou les deux.
Je propose donc :
"Le système des petits bouts de papier permettait une collaboration (certes involontaire) entre un très grand nombre de personnes pour la production de chaque bien.
Une telle collaboration induisait un gain considérable de productivité (et donc de bien-être et de liberté).
C'est d'ailleurs grâce à ça que des progrès imporÂtants avaient été accomplis dans les moyens de calcul et de comÂmunication .
A un tel point, il aurait été devenu possible de s'approÂcher, bien plus efficacement que par une discussion ou un échange de bouts de papier, de la répartition des activités de production et de consommation la plus juste et bénéfique possible.
Il aurait suffit que chacun indique ses préférences et capacités, et que l'on distribue ensuite les travaux et consommations en tenant compte de ces préférences.
La satisfaction de chacun aurait été ainsi optimisée, et c'en aurait été fini des nuisances dues au désir d'acquérir les petits bouts de papier.
Mais les habitants de ce monde avait une forte tendance à rejeter toute possibilité de changement important, en le décrétant « utopique » ou « extrémiste ». Ils préféraient souvent émettre des jugements vagues et généraux plutôt que réfléchir de façon logique et précise à ce qui était possible ou pas. Ils préféraient souvent se chercher des excuses plutôt qu'agir utilement. Ainsi, ils cultivaient souvent le fatalisme.
Il fallait aussi que suffisamment d'habitants soient informés de cette possibilité, et acceptent un tel changement.
La suite, c'est à toi de l'écrire, cher lecteur, en répondant à cette question... pour toi-même et en en tirant les conséquences :
Les habitants de ce monde, accepteront-ils de le sauver, ou seront-ils victimes de leur ignorance ou de leur indifférence ? Accepterais-tu de faire quelque chose ayant des chances raisonnables de préserver ce monde ? "
* ukratio.org