Toujours intéressant de créer des liens, en effet.
De prime abord (il y a peu de textes accessibles au visiteur), je vois quelque chose d'assez général, de sorte qu'on se demande ce que ça peut apporter de concret : Ils veulent "fédérer" tous ceux qui font de l'allègement de la souffrance leur priorité éthique. Très bien...
Il y a tellement de façons d'alléger la souffrance, qu'il faudrait au moins disposer d'un moyen pour faire des choix (ce que fait l'harmonisme rationnel, par exemple)...
Ensuite, je vois des choses plus précises, mais relevant de "croyances métaphysico-spiritualistes" (donc, trop limitatif à mon goût) :
Au-delà de notre seule empathie naturelle, notre conscience individuelle a la capacité à se dépasser jusqu’à voir que chaque souffrance éprouvée par quiconque est une partie de notre propre souffrance
Qu'est-ce que cette "conscience" ?
En quoi la souffrance d'autrui
serait-elle une partie de la mienne ?
Pourquoi ne pas s'en tenir à « "nous éprouvons tous de la compassion » ou mieux « que tout citoyen compatissant soit avec nous ! ».
Cette croyance semble avoir une certaine importance :
Cette conscience étendue est la clé de voûte d’une culture d’allègement de la souffrance.
mais cette phrase reste assez énigmatique pour moi.
À approfondir, donc !