Tout à fait, en fait je n’imaginais pas une répartition à priori, mais plutôt que chacun participe à la partie qu’il souhaite, tout en connaissant le nombre de personnes y participant déjà . ( Pour pouvoir éviter les parties où il y a déjà suffisamment de monde, ou s’occuper de celles où il en manque ).
En fait en me relisant , je me suis assez mal exprimé concernant « ... des groupes très nombreux pour des thèmes plus abordables ...» je pensais à : des groupes " de participants très nombreux " pour discuter de sujets
facilement abordables et des groupes de participants restreints ( participants très "qualifiés" donc
auto-sélectionnés pour des sujets très
pointus )
Je voulais surtout émettre l'idée que le nombre de participants était moins un facteur caractéristique du groupe ( même si c'est important pour la participation ) mais d'avantage le
thème abordé qui constituerait chaque groupe de réflexion .
Pour résumer , il vaut mieux : 1 thème ( 1 problème à solutionner ) = 1 groupe de travail
plutôt que : 1 groupe de travail = plusieurs thèmes abordés .
==> du coup, une même personne peut participer aussi bien à tous les groupes qu'à un seul , suivant ses
compétences , sa disponibilité ou son
affinité pour le thème à aborder .
Aussi , je pense qu'il vaut mieux qu'il y ait le plus de personnes possibles qui participent à une recherche de solution plutôt que de dissuader des personnes désireuses de participer à un sujet qui leur tient à coeur et leur
fermer malgré tout ce groupe qui aurait un nombre de participants déjà conséquent .
On peux envisager un nombre très important de personnes dans un seul groupe , ce nombre ne constituant pas forcément un problème puisque les participants sont censés connaitre le sujet et y apporter le plus d'éléments possibles , à bon escient .
Ce grand nombre de participants pour un thème précis , constituerait en soi une excellente application de démocratie participative en obtenant par principe , " la meilleure solution pour le plus grand nombre possible " .
Mais bon , je suis conscient que ça reste une théorie , en pratique il peut y avoir des problèmes techniques proportionnels au nombre de participants )
En revanche pour le cas où des groupes de travail se retrouveraient en
pénurie de participants , on peut émettre 2 hypothèses :
==> soit ce sujet présente un thème trop
pointu pour trouver suffisamment de personnes qui se sentent à l'aise pour en discuter et y répondre ( méconnaissance du thème à aborder , absence de documents spécifiques , ... ) . Dans ce cas , en amont , on pourrait envisager de solliciter certaines personnes , suffisamment intéressées au sujet , pour qu'elles puissent faire une recherche ciblée concernant des éléments manquants .
Ces documents constitueraient une source d'infos indispensables pour bien saisir le problème spécifique à aborder et faciliter les échanges en ayant
sous la main des documents référentiels .
==> soit ce thème ne
motive pas les participants qui peuvent ne pas y trouver un intérêt quelconque ou immédiat ( ce désintérêt pouvant
fausser ou entraver la recherche de solution ) , mieux vaut donc ne pas
forcer la création d'un groupe qui aurait du mal à trouver une solution laborieuse à un problème donné , ceci par manque de motivation .
On peut envisager , au bout d'un certain temps de
blocage , ( 2 semaines par exemple ) se poser légitimement la question de la pertinence du thème à discuter ou bien se demander où se situe le
blocage .